Omé' puis qu'il le faut bien.

[ Nom:] Kiev, de la respectable maison des Kiev, dernière née d’une famille d’employés royaux.

[Prénom :] Omelia, Zoé.

[Age :]17ans

[Surnom :] Omé’ ou Zoé pour les proches. Omelia ou Omé’ pour la reine Victoria, pour les autres Miss Omelia ou Dame Kiev est parfait.

[Histoire :]

Il y a un début à tout et à tout le monde…

C’est en Février au cœur de Londres qu’Omelia Kiev posa pour la première fois les yeux sur le monde.
Gaîté et joie accompagnèrent la naissance de ce petit ange au regard pétillant d’émerveillement. Car sa venue bien que dans des temps difficiles pour la famille Kiev, l’arriver de la jeune enfant était, comme dans de nombreuses familles sujet à des réjouissances. Et c’est ce qui fut. Le soir-même, alors que l’enfant dormait de son sommeil paisible dans les bras de sa jeune mère, elle-même allongé sur son lit, la famille Kiev, ou plutôt ce qu’il en restait – ce qui se résumait au vieux grand-père Kiev et son éternel sourire paternel, à une tante éloigné et son jeune garçon et bien sur le jeune père ravis- vinrent s’installer dans l’exigu chambre maternel pour profiter des premiers instants de la nouvelle née.
Dés sa naissance Omelia sut s’attirer les bonnes grâces de son entourage… Leur amour, leur admiration ou encore leur gentillesse.
Dans la même année la Princesse Victoria naquit au château apportant à cette famille de fidèles employés royaux une vague de bonheur bienvenue…

Petite fille devint grande, bien trop vite aux yeux de son père qui aurait préféré la voir traîner en compagnie des fillettes du voisinage plutôt que vagabonder dans les rues accompagnée de jeune garçons aux allures de voyous. Sa petit poupée se promenant sans inquiétude aucune dans les rues sombres de Londres. Il était difficile pour ce jeune cuisinier de l’imaginer ainsi, sa douce princesse, son petit oiseau bleu, fragile et douce, faisant les quatre-cent coups à travers une ville que tous savaient habité de sombres personnages. Mais comment pouvait-il savoir que tout ce que sa fille apprenait dans la rue, lui resservirait peut-être plus tard ?!

Omelia, surnommée, Omé’ par ses compagnons de jeux, vagabondait en effet, jouant à travers Londres à la fois aux pirates d’on de vieux bonhomme venant de Douvres ou de Margate contaient les histoires et aux bandits et aux voleurs. Ome’ se retrouvait souvent dans le mauvais camps aux vues de la lois. Volant parfois, car quel vagabond n’avait pas volé au moins une fois dans sa vie, se chamaillant souvent, se roulant dans la boue, organisant quelques actes révolutionnaires en vers un commerçant qui avait crut bon d’interrompre leur jeux bruyant. Les années qu’Omelia passa dans la rue furent source d’une éducation sérieuse, la jeune demoiselle qu’elle était apprit à vivre, à se débrouiller seule, en compagnie des plus grands elle découvrit comment se battre et mettre hors d’état de nuire certaines personnes, comment marchander une boucher de pain ou un pommes contre quelques services ou encore comment manipuler les personnes les plus difficiles, bourgeois, simples passants et/ou malveillante personnes.

Kiev ne grandit certes pas dans la meilleures des famille, elle n’eu pas l’éducation la plus côté, ses robes ne furent pas toutes propres et de bonne qualités tout les jours. Mais elle ne manqua jamais d’amour. Sa mère, de même que son père la traitèrent en princesse, lui cédant beaucoup de chose, la gâtant sans limites, riant de ses étourderies, la consolant quand elle en avait besoin, la nourrissant de comptes et de beauté, lui apportant tout ce que des parents de leurs conditions étaient capable de lui fournir. Amour, douceur, gentillesse, combativité…Il en fut ainsi, et il en sera toujours ainsi. Omelia et son minois rieur et angélique ne manquèrent de rien, sauf peut-être d’une éducation respectable.

C’est suite à une bêtise plus grave que les autres, suite à cette fameuse matinée ou Omelia manqua de ce tuer en sautant d’un toit plus haut que les autres lors d’une partie de Bandit’jtattrape que James Kiev, décida, assez autoritairement et sans ciller aux supplications de sa jeune fille que sa place n’était plus dans les rue à errer comme un voyou, que le jeu était terminé, et qu’il était grand temps qu’elle intègre une école. Une école ?! ce mot qui avait toujours dégoutter notre jeune demoiselle, mais ou son père avait bien décidé de l’envoyer, pour, il l’avait dit, une duré non déterminé.

Omelia Zoé Kiev quitta donc Londres et ses ruelles sombres sans grands regrets pour la ville mais plutôt pour la liberté qu’elle y avait acquise, pour Bristol et son collège de filles. Loger et nourrit par la même tante qui était venue la voir le jour de sa naissance, miss Omelia intégra bien à contre cœur le collège…

C’est une évidence, les cinq années qu’Omélia passa dans le collège portèrent leurs fruits.
D’une jeune fille sans manières, impolie, insolente et illettrés il en ressortit une demoiselle bien élevé, délicieusement charmante, cultivé et capable de récité ou même de chanter de la poésie sans rencontrer aucuns problèmes.
Et, tandis que son esprit critique de même que quelques préférences artistiques se développaient sa beauté elle fleurissait !
Petit brin de femme, élégante et joyeuse, polie bien qu’insolente, rayonnante de bonheur, optimiste et ravissante. Une jeune demoiselle aux allures de fleur d’été et au regard pétillant de malice. Voilà ce qu’était devenue la peste, maligne et joueuse. Une poupée pleine de vie, charmante, si bien que même ses compagnons d’enfances devenue commerçant, voyageur ou encore responsable d’auberges, en tombèrent de stupeur devant la jeune fille qu’ils avaient connue sauvage et garçonne.

Peu de temps après le retour d’Omelia à Londres sa mère mourut d’une maladie qu’elle traînait depuis des années déjà, suivit de peu par Mr Kiev qui se laissa lentement dépérir sous le poids du chagrin de la perte de sa tendre femme.
Deux vagues de malheurs successives poussèrent notre jeune fille à se dire que sa vie n’était plus dans le petit appartement ou elle était née, et conformément aux volontés de son père. Omélia Zoé Kiev se présenta au château, d’ou venait de rumeurs de recrutement de dame de compagnie, sous le blason des Kiev et en souvenirs des nombreux employés royaux que sa famille avait pourvus, Omé proposa sa candidature…

Il y a une fin à tout et à tout le monde.